Le Magicien d’Oz a inspiré, et cette affiche et le cinéma, marquant d’une empreinte indélébile son histoire en fédérant public, artistes et professionnels. Les prouesses techniques de l’époque ont facilité la coexistence des genres présents dans l’œuvre : le
fantastique, le poétique, le musical.
Le film révélera Judy Garland et Mickey Rooney et influencera nombre de metteurs en scène, dont David Lynch et John Boorman… mais aussi un certain Michael Jackson.
En 1927, Fritz Lang rendait universelle sa femme robot dans Metropolis. En 1939, Victor Fleming rendra éternels tous les personnages autour de Judy Garland, dont ce bel homme de fer qui « aimerait avoir du cœur ».
Empruntons ce chemin.
Bruno Barde
Directeur du festival