Charlotte Gainsbourg
Comédienne, Auteure, Compositrice, Interprète, RéalisatriceÀ propos
« Être de la partie depuis 38 ans et pourtant toujours aussi… bouleversée, renversée, étonnée, choquée, apeurée, terrifiée, amusée, attendrie… c’est bien que le cinéma a une magie que personne ne saurait expliquer tout à fait. »
Charlotte Gainsbourg grandit sur les plateaux de tournages et d’enregistrements auprès de ses parents, Jane Birkin et Serge Gainsbourg. Elle débute au cinéma à l’âge de 13 ans en jouant la fille de Catherine Deneuve dans Paroles et musique d’Élie Chouraqui. En 1986, elle remporte le César du meilleur espoir féminin pour son interprétation dans L’Effrontée de Claude Miller. La même année, son père la dirige dans Charlotte for Ever.
Depuis, elle étend son registre de comédienne en s’impliquant dans de nombreux films, sous la direction de réalisateurs aux univers très différents : Cement Garden d’Andrew Birkin (1993), Jane Eyre de Franco Zeffirelli (1996), Ma femme est une actrice d’Yvan Attal (2001), 21 Grammes d’Alejandro G. Iñárritu (2003), Golden Door d’Emanuele Crialese (2006), La Science des rêves de Michel Gondry (2006), I’m Not There de Todd Haynes (2007), L’Arbre de Julie Bertuccelli (2010), Samba d’Olivier Nakache et Éric Toledano (2014) ou encore Antichrist (2009), Melancholia (2011) et Nymphomaniac (2013), tous trois réalisés par Lars von Trier. En 2009, elle reçoit le Prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes pour Antichrist.
Parallèlement à sa carrière d’actrice, elle mène une riche carrière d’auteure-compositrice-interprète, façonnant cinq albums à ce jour : “Charlotte for Ever” (1986), “5:55” (2006), “IRM” (2009), “Stage Whisper” (2011) et “Rest” (2017). Elle reçoit en 2018 pour cet album la Victoire de la musique dans la catégorie chanteuse féminine de l’année. Charlotte Gainsbourg est récemment à l’affiche des films Mon chien stupide (2019) et Les Choses humaines (2021) d’Yvan Attal, et Suzanna Andler de Benoît Jacquot (2021). Son premier long métrage en tant que réalisatrice, le documentaire Jane par Charlotte consacré à sa mère, est présenté cette année au Festival de Cannes.
Cement Garden d’Andrew Birkin (1993), Jane Eyre de Franco Zeffirelli (1996), Ma femme est une actrice d’Yvan Attal (2001), 21 Grammes d’Alejandro G. Iñárritu (2003), Golden Door d’Emanuele Crialese (2006), La Science des rêves de Michel Gondry (2006), I’m Not There de Todd Haynes (2007), L’Arbre de Julie Bertuccelli (2010), Samba d’Olivier Nakache et Eric Toledano (2014) ou encore Antichrist (2009), Melancholia (2011) et Nymphomaniac (2013).
Mon chien stupide d’Yvan Attal (2019) et Suzanna Andler de Benoît Jacquot (2021)