Avec Arnaud Desplechin, président du jury, c’est l’amour du cinéma américain et du cinéma tout court que nous célébrons. Ainsi qu’un jury garant de l’excellence d’un futur palmarès…
Pour décerner les prix, il sera entouré de personnalités remarquables, à commencer par un autre grand cinéphile, Jean Paul Civeyrac, poète philosophe du cinématographe, à la discrète et superbe singularité ; Puis une immense actrice de théâtre, qui fait de chaque film par sa présence un événement, couronnée au cinéma par le César de la meilleure actrice en 2019, il s’agit de Léa Drucker.
En quelques années à peine, il est devenu l’un des comédiens les plus désirés du cinéma français, tant dans le cinéma d’auteur que dans les films populaires, dans la comédie que dans le polar ou le drame, un acteur complet dont le parcours dénote une intelligence du cinéma, c’est Pierre Deladonchamps.
Yasmina Khadra, grand romancier algérien dont les livres sont traduits dans près de 60 pays, suivis par des millions de fidèles lecteurs et adaptés à la scène comme au cinéma, apportera, lui, son regard de conteur hors pair.
Avec Sophie Letourneur, c’est une artiste réalisatrice qui nous rejoint, une observatrice des mœurs à l’humour burlesque, qui n’aime rien tant que créer et expérimenter, et sculpter le réel avec une précision quasi documentaire.
Chacune de ses apparitions sont un pas de côté. Chacune de ses performances, sur scène ou à l’écran dénotent un talent d’auteur et de comédien hors pair et une originalité à toute épreuve : Alex Lutz et son esprit décalé seront de la partie.
Et enfin, Marine Vacth, actrice à la beauté dangereuse, rigoureuse et en quête du juste dans ses rôles, inspire les plus prestigieux de nos réalisateurs hexagonaux de Cédric Klapisch à François Ozon en passant par Jean-Paul Rappeneau ou Maiwenn et internationaux comme Matteo Garrone ou Giordano Gederlini.
Huit personnages en quête d’auteurs, pour un quarante-huitième Festival de Deauville exceptionnel, forcément !